lundi 2 novembre 2015

Du sentier des Jonquilles a la Cape au Moine

 Entendu une belle réflexion sur ce banc 
Elle: "Viens, on va s'asseoir sur le banc!"
Lui: " Mais y'a rien a voir ici, que la vue ! "

 Les Dents du Midi

 Y'a du monde la-haut... sur la Dent de Jaman.

 Décoration en tavillons.

 Au bout de la route, en haut a droite, la Cape au Moine.

 Plus qu'a attendre le spectacle dont on ne se lasse jamais, allez savoir pourquoi !?



 La chaine des Alpes dans le dos.

Ou j'ai mis ma lampe frontale non de bleu !! 
La nuit tombe vite quand l’éteigneur de réverbère est passé !!

 Plus qu'a savourer une délicieuse fondue au chalet du col de Jaman, dernier jour, dernier morceaux de pain, dernière flambée avant le long sommeil de l'hiver.

Et pendant ce temps, ça s'agite sur l'autoroute, tout la bas en bas, ou il faudra bien retourner...

mercredi 28 octobre 2015

samedi 24 octobre 2015

Le virage de l'automne

 Ou les peupliers de Chahines.
Petit cadeau pour toi, Pepette ! Je sais que tu les aimes bien en automne.


vendredi 23 octobre 2015

La Paix Royal à l'alpage de Barneusa

Quand l'envie de travailler te prends, assied-toi et attend qu'elle passe...


« Si chacun ne conservait que ce dont il a besoin, nul ne manquerait de rien, 
et chacun se contenterait de ce qu’il a. »  Gandhi

Après quoi courir alors que tout est la !
 Il me semble que l’on n’a jamais été aussi près du bonheur que maintenant. 
La technique, la technologie, la médecine sont au point.

Mais depuis qu’un cœur a été transplanté, l’illusion de l’immortalité et l’incitation à posséder, instaurée par les Dieux « Croissance et  Consommation » a du fausser le sens de la vie et contribue a nous éloigner de ce qui pourrait être un monde parfait.

« Il y a assez de tout dans le monde pour satisfaire aux besoin de l’Homme, 
mais pas assez pour assouvir son avidité ».   Gandhi



 Le Zinalrothorn dans toute sa splendeur

Le Besso, ma montagne préférée du Val d'Anniviers et derrière l'Obergabelhorn.

Et l'autre face du Cervin.




lundi 19 octobre 2015

Triste fin...

Passer des années à courir dans les montagnes...

...et finir en porte manteau, triste fin.

vendredi 16 octobre 2015

Amour impossible... et pourtant !

L'amour fusionnel - et pas impossible - entre un platane et un réverbère. 
Plus fort que "Tournez manège ", émission des années 90 et 2010 sur TF1 
réunissant des célibataires, ancêtre du speed dating.

lundi 12 octobre 2015

Coincidence ou appel du large ?!


Lors de mon périple sur le sentier des Douaniers l'année dernière, dans un bistro de Santec, après un repas de pétoncles et de crêpes  caramel au beurre salé, j'ai pris un livre au hasard dans la bibliothèque, "La longue route" de Bernard Moitessier, et le resto a fermé avant que je n'en finisse la lecture. Ces deux passages m'avaient impressionné. 
Faudra que j'achète le livre pour le finir, a moins que vous n'en ayez un, sur une bibliothèque, qui a besoin de voyager... puis le temps a passé.




Et la semaine dernière, qui voilà dans le port de la Rochelle,  juste devant un globe terrestre autour duquel Bernard Moitessier a navigué en solitaire, le "Joshua"...

...que je retrouve une semaine après à Port Joinville, à l'ile d'Yeu, le petit bateau rouge, à quai, derrière les fanions colorés.
Vous avez dit "appel du large ?!"


jeudi 8 octobre 2015

De l'Atlantique à la Rue des Sabotiers

Et pour terminer cette ballade Atlantique, un moment dans l'atelier malheureusement plus en activité du dernier sabotier de la Chapelle Basse Mer. Ambiance extraordinaire, ou chaque objet semble vouloir me chuchoter son histoire en disant: "Ne m'oublie pas, je suis encore la !"
L'atelier semble avoir décider de faire juste une petite sieste, mais celle ci se prolonge encore...
Tristesse de tout ces sabots qui n'ont pas trouvés leurs pieds et qui attendent de connaitre leurs sort. Tout ceux là aussi semblent me dire: 
"Prends-moi avec toi, que j'aille courir dans les champs, sauter dans les flaques et m'allonger avec  toi, au bord de la Loire un après-midi d'été pour me sécher au soleil. Je raconterais comme toi des histoires à une autre paire de sabots qui envelopperait les jolis pieds d'une charmante demoiselle à qui tu conterais également fleurette... Puis nous partirions sur les sentiers bordant le fleuve, toi main dans la main avec ta charmante et moi sabot contre sabot avec la mienne."








 Et dire qu'en 1900, il se fabriquait à la main, 33 millions de paires de sabots...
et quand vous alliez vous acheter une nouvelle paire de sabots, l'ancienne était naturellement recyclée...en bois de chauffage !